Mon bilan lecture du quatrième trimestre 2024
Les livres que j’ai particulièrement appréciés
Romans en français
- Fuki-no-to, Maïmaï, Suzuran et Sémi de Aki Shimazaki, chez Actes sud : les deux derniers tomes de la pentalogie « L’ombre du chardon » et les deux premiers de la pentalogie « Une clochette sans battant« . Une autrice japonaise, vivant au Québec et écrivant en français. À déguster sans modération !
Romans policiers
- Hildur, de Satu Rämö, aux éditions du Seuil : un nouvelle plume finlandoa-islandaise ;
- Même le scorpion pleure, de Guy Rechenman, aux éditions Cairn : un « Flic de papier » qui avait failli m’échapper ;
- Sous les pavés, la Jungle, de Simone Gélin, aux éditions Cairn : une enquête dans les ténèbres françaises de la seconde moitié du XXème siècle.
Bande dessinée
- Quand on arrive en France : Histoire de l’immigration, de Jean-Michel Billioud et Michaël Sterckeman, chez Casterman : devoir de mémoire ;
- Nestor Burma, tome 14 : Du Rififi à Ménilmontant, de Jacques Tardi, chez Casterman : enquête dans le Paris des années 1950.
Essais et autres
- Une farouche liberté, de Gisèle Halimi et Annick Cojean, Le Livre de Poche : à mettre entre les mains de tou(te)s les adolescent(e)s ;
- Souchon, une vie en chansons, de Valérie Alamo, chez Hugo Doc : pas si simple qu’on pourrait le croire…
Les déceptions du trimestre
- Le cahier de David Jannapolli de Jean-Marc Turine, chez Métropolis : quand l’abus nuit ;
- La plage d’après, de Michel Desmarets, chez Académia : quand l’ennui vous gagne ;
- Bayonne est une fête, de Le basque et la plume, aux éditions Atlantica : sans grand intérêt.